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Office français de la biodiversité

Biodiversité et Outre-mer - Raconter, orienter, restaurer. Synthèse du séminaire du 7 au 8 juillet 2025 (Tue, 18 Nov 2025)
Biodiversité et Outre-mer - Raconter, orienter, restaurer. Synthèse du séminaire du 7 au 8 juillet 2025 Synthèse du séminaire organisé les 7 et 8 juillet 2025 au palais des congrès d’Arcachon par l’Office français de la biodiversité. Cet événement est suivi d’un rendez-vous avec les élus ultramarins le 19 novembre 2025 à Paris. Au sommaire Une dynamique engagée, qui doit monter en puissance La restauration des cours d’eau, enjeu vital outre-mer La « mise en récit » comme levier de mobilisation Histoires remarquables : du récit aux actes Restauration post-catastrophe : penser l’urgence sans oublier la nature Découvrir la 1re édition et ses ressources associées  Séminaire Biodiversité et Outre-mer 2023 - Challenger l'avenir Professionnels de la biodiversité Collectivités Ce temps fort d'échanges, de réflexion collective et de recherche de synergies à destination des acteurs ultramarins s'est déroulé en deux temps : une journée dédiée aux élus et deux journées techniques dédiées aux partenaires. Du 24 novembre 2023 au 15 décembre 2023 Outre-mer Contenu S&T Activé Découvrir aussi Les collections scientifiques et techniques Documentation scientifique et technique Les ressources issues des évènements et des formations Notice Date d’édition : novembre 2025 Auteur(s) : Bénédicte Valadou (OFB), Laurent Basilico (rédacteur scientifique) Structure(s) autrice(s) : Office français de la biodiversité (OFB) Editeur(s) : Office français de la biodiversité (OFB) Collection : Rencontres Référence documentaire : DOC00086734 ISBN web : 78-2-38170-227-8 ISBN print : 978-2-38170-228-5 Zone : Outre-mer Milieux : Tous les milieux, Milieux aquatiques continentaux (plans d'eau, cours d'eau, sources et berges) Thématiques : Connaissances, données & diagnostics, Continuités écologiques, Coopération & partenariats, Education & sensibilisation, Espèces, Gestion de l'eau, Gestion des espaces naturels, Gouvernance & planification, Mobilisation des acteurs & des citoyens, Relation au vivant, Restauration écologique, Risques naturels Citer la référence : Valadou B., Basilico L., novembre 2025. Biodiversité et Outre-mer. Raconter, orienter, restaurer. Synthèse du séminaire du 7 au 8 juillet 2025. Office français de la biodiversité, Rencontres. 16 p. Afficher moins Types de publics Professionnels de la biodiversité Collectivités Scolaires & enseignants Citoyens Entreprises Organisations non gouvernementales Professionnels & usagers de la mer Image rencontres-2025_seminaire-outre-mer2025_couv.jpg Description Protéger la biodiversité ultramarine : ces deux journées de "bilan d'étape" ont permis de mesurer le chemin parcouru, poursuivre le travail de Titre Biodiversité et Outre-mer - Raconter, orienter, restaurer. Synthèse du séminaire du 7 au 8 juillet 2025 Sommaire Activé Types de documentations Documentation scientifique et technique Types de documents Note & fiche thématique Visuel du document rencontres-2025_seminaire-outre-mer2025_couv.jpg Accompagner, orienter, donner des moyens de protéger la biodiversité ultramarine : ces deux journées de "bilan d'étape" ont permis de mesurer le chemin parcouru, poursuivre le travail de diffusion de connaissances et d’outils, particulièrement pour la restauration des cours d’eau, et partager des retours d’expériences. Parmi ces initiatives, beaucoup comportaient une dimension de "mise en récit". Résumé Protéger la biodiversité ultramarine : ces deux journées de "bilan d'étape" ont permis de mesurer le chemin parcouru, poursuivre le travail de diffusion de connaissances et d’outils, particulièrement pour la restauration des cours d’eau, et partager des retours d’expériences. Outre-mer Thématique Connaissances, données & diagnostics Continuités écologiques Coopération & partenariats Education & sensibilisation Espèces Gestion de l'eau Gestion des espaces naturels Gouvernance & planification Mobilisation des acteurs & des citoyens Relation au vivant Restauration écologique Risques naturels A la une Activé Milieux Tous les milieux Milieux aquatiques continentaux (plans d'eau, cours d'eau, sources et berges) Afficher les informations dans la bannière Désactivé Old NID 742 Télécharger le document Biodiversité et Outre-mer - Raconter, orienter, restaurer. Séminaire juillet 2025 (Rencontres 2025, OFB) Editeur Office français de la biodiversité (OFB) Statut ressources disponibles Activé Collections Rencontres Périodiques Espaces naturels Structures autrices Office français de la biodiversité (OFB)
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Outil interactif Solutions fondées sur la Nature pour l'adaptation au changement climatique (ven., 14 nov. 2025)
Outil interactif Solutions fondées sur la Nature pour l'adaptation au changement climatique Pour vous guider dans vos démarches d’adaptation, le projet Life ARTISAN met à votre disposition deux publications en ligne complémentaires : Publication spéciale décideurs Une publication spéciale en ligne à destination des décideurs qui présente le concept de Solutions fondées sur la Nature et comment et pourquoi elles sont efficaces pour répondre à différents défis d’adaptation. Ainsi, vous trouverez pour différents milieux et enjeux, une sélection de Solutions fondées sur la Nature expliquées et illustrées par des fiches de projets mis en œuvre avec succès partout dans l’Hexagone et l’Outre-Mer. Ce dossier intègre aussi des informations de coûts, les bénéfices et des témoignages de porteurs de projets. Boîte à outils techniciens Une boîte à outils en ligne des Solutions fondées sur la Nature pour l’adaptation de nos territoires au changement climatique à destination des techniciens. Vous y trouverez des parcours détaillés, pour mettre en œuvre, étape par étape, une Solution fondée sur la Nature pour l’adaptation dans différents types de milieux. Aussi, sont présentées les clés de réussite pour mener à bien la mise en œuvre de Solutions fondées sur la Nature. Vous disposerez de ressources et outils incontournables pour passer à l’action. Cet outil offre des contenus adaptés à tout type de territoire et de contextes environnemental et climatique (forêts, littoral, montagne, urbain, agricole, etc.). Contenu S&T Désactivé Notice Date d’édition : novembre 2025 Afficher moins Types de publics Collectivités Entreprises Professionnels de la biodiversité Image Couverture - Place aux Solutions fondées sur la Nature ! Pour adapter nos territoires aux changements climatiques Description Décideurs et techniciens, prêts à passer à l'action face au changement climatique ? Découvrez notre nouvel outil interactif, décliné en une Titre Outil interactif Solutions fondées sur la Nature pour l'adaptation au changement climatique Sommaire Désactivé Types de documentations Publications Types de documents Application, dataviz & autres outils web Visuel du document Couverture - Place aux Solutions fondées sur la Nature ! Pour adapter nos territoires aux changements climatiques Décideurs et techniciens, prêts à passer à l'action face au changement climatique ? Découvrez notre nouvel outil interactif, décliné en une publication spéciale et une boîte à outils, conçues pour vous accompagner dans la mise en œuvre de Solutions fondées sur la Nature (SfN) afin d'adapter votre territoire aux défis climatiques. Résumé Décideurs et techniciens, prêts à passer à l'action face au changement climatique ? Découvrez notre nouvel outil interactif, décliné en une publication spéciale et une boîte à outils, conçues pour vous accompagner dans la mise en œuvre de Solutions fondées sur la Nature (SfN) afin d'adapter votre territoire aux défis climatiques. A la une Activé Afficher les informations dans la bannière Désactivé Télécharger le document Publication spéciale - Place aux Solutions fondées sur la Nature ! Pour adapter nos territoires aux changements climatiques Boîte à outils - Place aux Solutions fondées sur la Nature ! Pour adapter nos territoires aux changements climatiques Statut ressources disponibles Activé
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Territoires de convergence eau potable et Natura 2000 : initiatives pour réduire l’impact des produits phytopharmaceutiques (ven., 14 nov. 2025)
Territoires de convergence eau potable et Natura 2000 : initiatives pour réduire l’impact des produits phytopharmaceutiques Désactivé L’Office français de la biodiversité, les ministères en charge de la transition écologique, de l’agriculture et de la santé lancent le premier appel à projets de la Stratégie Écophyto 2030. Inscrit dans l’action 3.3 de la Stratégie, « Réduire les usages et les risques, notamment sur les territoires prioritaires » (Aires d’alimentation de captages et Natura 2000), il vise à soutenir des projets visant à réduire l’impact des produits phytopharmaceutiques dans des territoires de convergence eau potable et biodiversité.  La stratégie Écophyto 2030 prévoit le lancement d’appels à projets nationaux thématiques afin de soutenir des projets visant une réduction de l’utilisation des produits phytopharmaceutiques et des risques associés. Ils complètent les projets structurants et les appels à projets recherche financés également dans le cadre de la Stratégie.  France entière Territoires de convergence eau potable et Natura 2000 : initiatives pour réduire l’impact des produits phytopharmaceutiques L’Office français de la biodiversité, les ministères en charge de la transition écologique, de l’agriculture et de la santé lancent le premier appel à Ouvert lun 02/03/2026 - 12:00 ven 14/11/2025 - 12:00 ven 14/11/2025 - 12:00 Activé Appel à projets Désactivé L’Office français de la biodiversité, les ministères en charge de la transition écologique, de l’agriculture et de la santé lancent le premier appel à projets de la Stratégie Écophyto 2030. Inscrit dans l’action 3.3 de la Stratégie, « Réduire les usages et les risques, notamment sur les territoires prioritaires » (Aires d’alimentation de captages et Natura 2000), il vise à soutenir des projets visant à réduire l’impact des produits phytopharmaceutiques dans des territoires de convergence eau potable et biodiversité.  Les produits phytopharmaceutiques exercent une pression aussi bien sur l’eau que sur la biodiversité. Les acteurs de terrain, collectivités, agriculteurs et usagers, sont confrontés aux conséquences sanitaires et environnementales de cette pression et cherchent des réponses couplant préservation de la ressource en eau, développement de l’agriculture et reconquête de la biodiversité.  Cet appel à projets est destiné à des territoires présentant des enjeux autour de la préservation de la qualité de l’eau destinée à la consommation humaine et de la reconquête de la biodiversité. Ces projets visent la suppression ou une forte réduction des produits phytopharmaceutiques à l’échelle de ces territoires composés d’au moins une aire d’alimentation de captage et d’un ou plusieurs sites Natura 2000. Au travers de cet appel à projets, il s’agit d’appuyer les enjeux portés par la feuille de route captages en cours de déploiement et la prise en compte de la réduction des produits phytopharmaceutiques dans les sites Natura 2000. Les différents projets sélectionnés bénéficieront d’une animation nationale, de manière à les accompagner et à capitaliser leur expérience. Cet appel à projets est doté d’une enveloppe allant jusqu’à 2,06 millions d’euros. Les projets seront soutenus pour un montant de financement maximum de 300 000 € par projet et pour une durée maximale de 36 mois. Les projets attendus doivent être multi-partenariaux et seront portés par un chef de file qui peut être une structure gestionnaire d’Aire d’Alimentation de Captage et/ou d’espace naturel protégé (Natura 2000 sur le territoire hexagonal et autres aires protégées en outre-mer). Ouverture de la plateforme de dépôt : 12 novembre 2025 Webinaire de présentation du règlement : 11 décembre 2025 de 14h à 16h Webinaire d’échanges avec les porteurs de projets : 12 janvier 2026 de 14h à 16h Dépôt des dossiers complets : Jusqu’au 2 mars 2026, 23h59 heure de Paris Annonce des lauréats : 30 mai 2026 (date indicative) L’appel à projets national prévoit une phase de dépôt unique. Les dossiers complets des projets candidats doivent être déposés sur la plateforme Démarches simplifiées avant le 2 mars à 23h59 (horaire de Paris). La liste des projets retenus sera rendue publique sur les sites Internet de l’OFB et des ministères co-pilotes de la stratégie Écophyto 2030 en mai 2026. Je dépose mon dossier Webinaire de lancement Un webinaire de lancement se tiendra en visioconférence le 11 décembre 2025 de 14h à 16h (horaire de Paris). Il sera possible de visionner son replay sur la chaîne Viméo de l’OFB. Les informations nécessaires seront actualisées sur cette page. Inscription au webinaire Contacts Règlement administratif de l’appel à projets Territoires de convergence eau potable et Natura 2000 : initiatives pour réduire l’impact des produits phytopharmaceutiques PDF - 590.43 Ko Fiche projet - Appel à projets Territoires de convergence eau potable et Natura 2000 DOCX - 216.65 Ko Stratégie Écophyto 2030  (ouverture dans une nouvelle fenêtre) Feuille de route captages  (ouverture dans une nouvelle fenêtre) Désactivé
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Les aires protégées mobilisées pour la séquestration du carbone. Retour sur l'édition 2024 du Forum des gestionnaires d'aires protégées (jeu., 13 nov. 2025)
Les aires protégées mobilisées pour la séquestration du carbone. Retour sur l'édition 2024 du Forum des gestionnaires d'aires protégées Retour sur l’édition 2024 du Forum des gestionnaires d’aires protégées qui s’est tenu le 8 octobre à Paris, à l’invitation de l’Office français de la biodiversité (OFB) et de la Fédération des Conservatoires d’espaces naturels (FCEN). Au sommaire Milieux naturels et séquestration du carbone : quelques repères Préserver et restaurer les tourbières, un enjeu prioritaire Vasières, marais littoraux, prés salés : La Rochelle inventorie son « carbone bleu » Label bas-carbone : des tourbières aux mangroves, un cadre normatif en développement La « libre évolution », pour des forêts alliées du climat et de la biodiversité Un levier pour favoriser la restauration des tourbières dégradées Outre-mer : valoriser le « carbone bleu » des mangroves et forêts marécageuses Encadré - Nature Impact : un fonds pour financer les projets vertueux en forêt Quelle implication des gestionnaires d’aires protégées dans la séquestration du carbone ? Le Parc national des Calanques trouve du soutien pour protéger ses herbiers Dans le Jura, le groupe Bel se rallie à la cause des tourbières Beaucoup de questions en suspens, une réflexion à mener collectivement Consulter les ressources de l'évènement Forum des gestionnaires d’aires protégées 2024 - Plus de nature, moins de carbone : relevons le défi ! Professionnels de la biodiversité Collectivités L’édition 2024 du Forum a porté sur le rôle des aires protégées dans la séquestration du carbone par les milieux naturels. En effet, le réseau des CEN expérimente le développement de 3 labels bas-carbone portant sur les vieilles forêts, les tourbières et les prairies. Le 08 octobre 2024 France entière Contenu S&T Activé Notice Date d’édition : novembre 2025 Editeur(s) : Office français de la biodiversité (OFB) Collection : Rencontres Référence documentaire : DOC00086705 ISBN web : 978-2-38170-217-9 ISBN print : 978-2-38170-218-6 Zone : France entière Milieux : Milieux littoraux et de transition (côtes, rivages, estuaires, lagunes littorales), Milieux humides (marais, tourbières et autres zones humides), Milieux boisés (forêts, boisements, bocages et haies) Thématiques : Changement climatique, Connaissances, données & diagnostics, Education & sensibilisation, Gestion des espaces naturels, Gouvernance & planification, Milieux, Mobilisation des acteurs & des citoyens Afficher moins Types de publics Chercheurs Collectivités Organisations non gouvernementales Professionnels de la biodiversité Image rencontres-2025_fdgap_carbone_doc00086705_couv.jpg Description Le Forum des gestionnaires d’aires protégées 2024 a mis en lumière avec des exemples concrets les stratégies de séquestration, illustrant notamment Titre Les aires protégées mobilisées pour la séquestration du carbone. Retour sur l'édition 2024 du Forum des gestionnaires d'aires protégées Sommaire Activé Types de documentations Documentation scientifique et technique Types de documents Note & fiche thématique Visuel du document rencontres-2025_fdgap_carbone_doc00086705_couv.jpg Face à l’urgence climatique, l’Union européenne vise la neutralité carbone d’ici 2050. Au-delà de la décarbonation, la séquestration du carbone par les milieux naturels est une approche essentielle, encadrée par des dispositifs. Les professionnels des aires protégées, acteurs majeurs de la conservation de la biodiversité, sont désormais au cœur de cet enjeu. Le Forum des gestionnaires d’aires protégées 2024 a ainsi mis en lumière avec des exemples concrets les stratégies de séquestration, illustrant notamment des partenariats public-privé innovants. Résumé Le Forum des gestionnaires d’aires protégées 2024 a mis en lumière avec des exemples concrets les stratégies de séquestration, illustrant notamment des partenariats public-privé innovants. France entière Thématique Changement climatique Connaissances, données & diagnostics Education & sensibilisation Gestion des espaces naturels Gouvernance & planification Milieux Mobilisation des acteurs & des citoyens A la une Activé Milieux Milieux littoraux et de transition (côtes, rivages, estuaires, lagunes littorales) Milieux humides (marais, tourbières et autres zones humides) Milieux boisés (forêts, boisements, bocages et haies) Afficher les informations dans la bannière Désactivé Télécharger le document Aires protégées - séquestration carbone, FDGAP 2024 (Rencontres, OFB, 2025) Editeur Office français de la biodiversité (OFB) Statut ressources disponibles Activé Collections Rencontres
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Rapport d'activité 2024 - Direction interrégionale Provence-Alpes-Côte d'Azur et Corse (mer., 12 nov. 2025)
Rapport d'activité 2024 - Direction interrégionale Provence-Alpes-Côte d'Azur et Corse Aller plus loin L'Office français de la biodiversité en Provence-Alpes-Côte d'Azur L'Office français de la biodiversité en Corse Sommaire Éditorial La direction interrégionale Provence-Alpes-Côte d’Azur et Corse 2024 en images Police de l’environnement et police sanitaire de la faune sauvage Connaissance, recherche et expertise sur les espèces, les milieux et leurs usages Appui aux acteurs et mobilisation de la société L’appui aux acteurs et politiques publiques : gestion de territoires Le Parc Naturel Marin Cap Corse et de l’Agriate La Délégation de façade maritime Méditerranée Au coeur des territoires : les Services départementaux Contenu S&T Désactivé Notice Date d’édition : novembre 2025 Auteur(s) : OFFICE FRANÇAIS DE LA BIODIVERSITÉ Zone : Provence-Alpes-Côte d'Azur, Corse Thématiques : Aires protégées, Connaissances, données & diagnostics, Contrôle & règlementation, Mobilisation des acteurs & des citoyens, Politiques publiques, Recherche & développement Afficher moins Types de publics Agriculteurs Chasseurs Chercheurs Citoyens Collectivités Entreprises Organisations non gouvernementales Professionnels & usagers de la mer Professionnels de la biodiversité Scolaires & enseignants Image Couverture - Rapport d'activité 2024 - Direction interrégionale Provence-Alpes-Côte d'Azur et Corse Description La direction interrégionale Provence-Alpes-Côte d'Azur et Corse de l'OFB met en œuvre à l’échelon territorial les 5 grandes missions de l Titre Rapport d'activité 2024 - Direction interrégionale Provence-Alpes-Côte d'Azur et Corse Sommaire Désactivé Types de documentations Rapports d'activités Types de documents Document institutionnel Visuel du document Couverture - Rapport d'activité 2024 - Direction interrégionale Provence-Alpes-Côte d'Azur et Corse La direction interrégionale Provence-Alpes-Côte d'Azur et Corse de l'OFB met en œuvre à l’échelon territorial les 5 grandes missions de l’établissement : la connaissance, la recherche et l’expertise sur les espèces, les milieux et leurs usages ; la police de l’environnement et la police sanitaire de la faune sauvage ; l’appui à la mise en œuvre des politiques publiques ; la gestion et l’appui aux gestionnaires d’espaces naturels ; l’appui aux acteurs et la mobilisation de la société. Résumé La direction interrégionale Provence-Alpes-Côte d'Azur et Corse de l'OFB met en œuvre à l’échelon territorial les 5 grandes missions de l’établissement : la connaissance, la recherche et l’expertise sur les espèces, les milieux et leurs usages ; la police de l’environnement et la police sanitaire de la faune sauvage ; l’appui à la mise en œuvre des politiques publiques ; la gestion et l’appui aux gestionnaires d’espaces naturels ; l’appui aux acteurs et la mobilisation de la société. Provence-Alpes-Côte d'Azur Corse Thématique Aires protégées Connaissances, données & diagnostics Contrôle & règlementation Mobilisation des acteurs & des citoyens Politiques publiques Recherche & développement A la une Activé Afficher les informations dans la bannière Désactivé Télécharger le document Rapport d'activité 2024 - Direction interrégionale Provence-Alpes-Côte d'Azur et Corse PDF - 4.01 Mo Statut ressources disponibles Activé
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Financement des Atlas de la biodiversité communale (sam., 08 nov. 2025)
Financement des Atlas de la biodiversité communale Désactivé Chaque année, l'Office français de la biodiversité lance une nouvelle campagne de financement d'Atlas de la biodiversité communale ouverte aux communes et intercommunalités. Les collectivités peuvent déposer leur dossier tout au long de l’année sur la plateforme aides-territoires. France entière Financement des Atlas de la biodiversité communale Chaque année, l'Office français de la biodiversité lance une nouvelle campagne de financement d'Atlas de la biodiversité communale ouverte aux Connaissances, données & diagnostics Aménagement & urbanisme Espèces Milieux Ouvert Activé Financement Désactivé Chaque année, l'Office français de la biodiversité lance une nouvelle campagne de financement d'Atlas de la biodiversité communale ouverte aux communes et intercommunalités. Les collectivités peuvent déposer leur dossier tout au long de l’année sur la plateforme aides-territoires. L'Atlas de la biodiversité communale (ABC) est un outil clé pour recenser et valoriser la richesse écologique d’un territoire. En mobilisant les habitants et les acteurs de votre territoire, ce projet leur permet de s'approprier les enjeux de biodiversité afin qu'ils s'impliquent dans des actions concrètes. L’ABC est également un moyen de prendre des décisions éclairées, notamment en matière d’aménagement, et de s’engager dans un projet de territoire prenant en compte le vivant. Le financement d'un Atlas de la biodiversité communale est ouvert aux communes et intercommunalités. Ce financement est ouvert en continu. Deux temps d’instruction des dossiers sont prévus en avril et en juin. Les résultats seront communiqués individuellement aux porteurs de projet et sur les canaux de diffusion de l’OFB. Pour bénéficier d’un financement de votre Atlas de la biodiversité communale, les collectivités intéressées peuvent déposer leur dossier sur la plateforme en ligne dédiée. La plateforme Aides-territoires Contacts Lauréats 2023 En 2023, 100 nouveaux projets d'Atlas de la biodiversité communale ont bénéficié d'un financement de l'Office français de la biodiversité. Une première phase a permis de sélectionner 76 projets concernant 394 communes et 24 projets réunissant 323 communes ont été sélectionnés lors de la seconde phase. L'enveloppe total pour ces financements s'élève à 7 600 000 €. Liste des lauréats du financement des Atlas de la biodiversité communale 2023 PDF - 77.87 Ko Lauréats 2022 En 2022, 47 projets d’Atlas de la biodiversité communale, concernant près de 400 communes, ont été retenus. L'enveloppe totale de ce financement s'élève à 2 000 000 €. Liste des lauréats du financement des Atlas de la biodiversité communale 2022 PDF - 92.99 Ko Lauréats 2021 En 2021, 98 projets d’Atlas de la biodiversité communale, impliquant 767 communes, ont bénéficié d'un financement de l'Office français de la biodiversité pour un montant de 5 000 000 €. Liste des lauréats du financement des Atlas de la biodiversité communale 2021 PDF - 129.7 Ko Lauréats 2020 En 2020, 46 projets d'Atlas de la biodiversité communale regroupant 251 communes ont bénéficié d'un soutien de l’Office français de la biodiversité pour un montant total de 2 500 000 €. Liste des lauréats du financement des Atlas de la biodiversité communale 2020 PDF - 46.01 Ko Activé
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Ne pas relâcher d'espèces exotiques dans la nature (jeu., 06 nov. 2025)
Ne pas relâcher d'espèces exotiques dans la nature La tortue de Floride a été un animal de compagnie très en vogue. Mais une fois relâchée dans la nature, elle s’est installée dans les lieux de ponte de notre tortue locale, la cistude d’Europe, qui depuis peine à se reproduire. Les poissons exotiques ne sont pas non plus inoffensifs. Par exemple, le poisson rouge originaire d’Asie, très gourmand et omnivore, avale tout ce qu’il trouve jusqu’à mettre en péril des écosystèmes entiers.  Ces espèces, souvent issues de ces foyers où elles étaient des animaux de compagnie, peuvent devenir envahissantes et causer de graves dégâts.  Des idées pour agir Avec mes animaux de compagnie et mon aquarium :   Je ne relâche jamais un animal dans la nature. Je ne vide jamais l’eau de mon aquarium dehors. Si je dois me séparer d'un animal, je contacte un vétérinaire, un refuge ou une association spécialisée. Les aquariums municipaux sont une alternative à l’abandon d’espèces aquatiques. Je jette les plantes d’aquarium aux ordures, pas au compost ni dans la nature. Avant d’adopter un nouvel animal :  Je me renseigne sur son espérance de vie, ses besoins, sa taille adulte. Je réfléchis à ma capacité à m’en occuper sur le long terme. Je m’informe sur les espèces interdites ou réglementées. J’achète mes plantes aquatiques et mes poissons dans des magasins spécialisés qui connaissent les bonnes pratiques. Dans mon jardin :  Je plante local. Je vérifie les espèces interdites avant de semer. Je retire les espèces envahissantes et les jette en déchetterie. Les (é)co-bénéfices 🦋 Je protège la biodiversité J’évite l’introduction d’espèces qui menacent la faune et la flore locales. ❤️ Je prends soin de ma santé J’évite la propagation de maladies transmises par des espèces invasives (dengue, chikungunya…). Je limite les risques d’allergies (ex : ambroisie). 💲 Je fais des économies Moins de dégâts causés par les invasions = moins de frais pour la collectivité (plus de 12,5 milliards €/an en Europe). Pourquoi c’est important ? Relâcher dans la nature des animaux ou plantes venus d’ailleurs peut provoquer de graves déséquilibres. On parle alors d’espèces exotiques envahissantes (EEE). Ces espèces, une fois en liberté, peuvent se multiplier très vite, occuper l’espace, prendre les ressources (nourriture, eau, lumière) et évincer les espèces locales. C’est un peu comme si un invité discret finissait par envahir toute la maison. Trop encombrants, devenus sauvages, certains animaux de compagnie sont parfois relâchés, bouleversant durablement les écosystèmes locaux. D'autres peuvent avoir un impact direct sur notre santé : certaines espèces introduites sont vectrices de maladies ou provoquent des allergies, comme l’ambroisie. L’impact est aussi économique : les espèces envahissantes causent des dégâts dans les forêts, l’agriculture ou les milieux urbains, pour un coût estimé à plus de 12,5 milliards d’euros par an en Europe. Aucun milieu n’est épargné, en Hexagone comme dans les Outre-mer, où elles menacent des espèces uniques au monde. En chiffre Le saviez-vous ? 60% des extinctions globales d’espèces sont en lien avec les espèces exotiques envahissantes. Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) Politique publique Depuis 2014 au niveau européen et 2018 en France, les espèces exotiques envahissantes sont encadrées par des lois spécifiques. L’État agit à travers un plan national de lutte, mais chacun peut aussi agir à son échelle pour limiter leur propagation. Activé Aller plus loin Illustration interactive - Les espèces exotiques envahissante  (ouverture dans une nouvelle fenêtre) Les espèces exotiques envahissantes  (ouverture dans une nouvelle fenêtre) Centre de ressource Espèces exotiques envahissantes  (ouverture dans une nouvelle fenêtre) Liste par région des espèces exotiques envahissantes  (ouverture dans une nouvelle fenêtre) Inventaire National du Patrimoine Naturel (INPN)  (ouverture dans une nouvelle fenêtre) Vidéo Les Épicurieux - Espèces Exotiques Envahissantes  (ouverture dans une nouvelle fenêtre) Les refuges SPA, pour signaler ou confier un animal exotique.  (ouverture dans une nouvelle fenêtre) Visuel de l’action Illustration - Ne pas relacher des espèces exotiques dans la nature Catégories d’actions citoyennes Prendre soin des espèces et des espaces Résumé La tortue de Floride a été un animal de compagnie très en vogue. Mais une fois relâchée dans la nature, elle s’est installée dans les lieux de ponte de notre tortue locale, la cistude d’Europe, qui depuis peine à se reproduire. Les poissons exotiques ne sont pas non plus inoffensifs. Par exemple, le poisson rouge originaire d’Asie, très gourmand et omnivore, avale tout ce qu’il trouve jusqu’à mettre en péril des écosystèmes entiers. Ces espèces, souvent issues de ces foyers où elles étaient des animaux de compagnie, peuvent devenir envahissantes et causer de graves dégâts.  Votes 1 Voters cecile.bouniol@ofb.gouv.fr
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Diversifier la flore de mon jardin ou de mon balcon (mer., 05 nov. 2025)
Diversifier la flore de mon jardin ou de mon balcon La ville grignote peu à peu les espaces naturels, laissant moins de place à la flore et à la biodiversité. Pourtant, chacun peut agir, même sans jardin ! Une jardinière sur un balcon, un mur végétalisé, quelques arbustes en pot ou une petite mare peuvent offrir gîte et couvert à de nombreuses espèces. En diversifiant la flore autour de chez vous, vous créez des refuges précieux pour le vivant tout en profitant d’un coin de nature au quotidien. Des idées pour agir Je plante des espèces locales, adaptées à mon sol et à mon climat. Je végétalise mon balcon, ma terrasse ou mes rebords de fenêtre avec des espèces utiles à la biodiversité. Je participe à des plantations collectives dans mon quartier ou en pied d’immeuble. Je diversifie les plantes (fleurs, légumes, arbustes, arbres) pour attirer une faune variée. Je choisis des plantes mellifères et qui fleurissent tout au long de l'année pour nourrir les pollinisateurs tout au long de l’année. Je crée plusieurs strates végétales : herbacées, buissons, arbres. Je laisse un coin un peu sauvage (tas de bois, herbes hautes) pour abriter les petits animaux. Je réduis la surface de gazon et j’installe une prairie fleurie ou un potager. J’intègre des légumineuses (pois, fèves, trèfle…) pour enrichir naturellement mon sol. J’arrose avec de l’eau de pluie et j’adapte mes plantations aux conditions locales.   Les (é)co-bénéfices 🦋 Je protège la biodiversité J’offre refuge et nourriture à de nombreux insectes, oiseaux, petits mammifères et pollinisateurs et je crée des continuités écologiques entre les espaces verts, même en ville. ❤️ Je prends soin de ma santé Je réduis mon exposition aux produits chimiques en renonçant aux pesticides et jardiner ou prendre soin des plantes est bénéfique pour la santé physique et mentale. 💧 Je préserve la qualité de l’eau J'évite la pollution des nappes en renonçant aux produits chimiques. 💲 Je fais des économies J’achète mes plantes chez des pépiniéristes locaux, ce qui soutient les filières de proximité. Et je réduis mes besoins en eau, engrais et traitements. Pourquoi c’est important ? L’urbanisation croissante fragmente les milieux naturels, réduit les zones refuges pour la faune et la flore, et rend la vie difficile à de nombreuses espèces. En ville, les sols sont souvent bétonnés et les espaces verts rares et peu diversifiés.  En variant les plantes, on crée des habitats pour une foule d’animaux : une haie avec du noisetier, du sureau ou des framboisiers devient un refuge pour la petite faune. Les espèces locales (plantes dites “indigènes”) sont adaptées au climat et au sol : elles ont moins besoin d’eau, d’engrais ou de traitements.  urtout, elles nourrissent les insectes du coin, comme les abeilles sauvages ou les papillons. Par exemple, le trèfle, le lierre ou la lavande offrent du nectar presque toute l’année. Même un petit balcon peut devenir un refuge pour la nature. Des jardinières de plantes mellifères, quelques pots d’arbustes fruitiers, ou des plantes aromatiques variées permettent de créer des mini-écosystèmes en ville. Et plus il y a de lieux accueillants, plus les espèces peuvent circuler d’un jardin à l’autre. Diversifier nos jardins avec des plantes, comme les pois, les haricots ou les fèves, enrichit naturellement le sol : elles fixent l’azote de l’air dans la terre. C’est bon pour vos cultures, et ça évite d’avoir recours à des engrais chimiques, qui polluent les nappes phréatiques. Jardiner de manière plus “sauvage” a aussi un effet bénéfique sur le climat. Un gazon bien ras consomme beaucoup d’eau et d’énergie. En le remplaçant par une prairie fleurie, on favorise les insectes, on stocke du carbone, et on limite les arrosages.   En chiffre Sur les 4982 espèces de plantes que compte la France 742 (soit 15 % d'entre elles) figurent sur une liste rouge d'espèces menacées. Activé Aller plus loin Accueillir la biodiversité dans son jardin  (ouverture dans une nouvelle fenêtre) Visuel de l’action Illustration - Diversifier la flore de mon jardin ou de mon balcon Catégories d’actions citoyennes Prendre soin des espèces et des espaces Résumé La ville grignote peu à peu les espaces naturels, laissant moins de place à la flore et à la biodiversité. Pourtant, chacun peut agir, même sans jardin ! Une jardinière sur un balcon, un mur végétalisé, quelques arbustes en pot ou une petite mare peuvent offrir gîte et couvert à de nombreuses espèces. En diversifiant la flore autour de chez vous, vous créez des refuges précieux pour le vivant tout en profitant d’un coin de nature au quotidien. Votes 1 Voters cecile.bouniol@ofb.gouv.fr
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Utiliser du terreau sans tourbe (mer., 05 nov. 2025)
Utiliser du terreau sans tourbe Les tourbières sont des zones humides ( lien vers la fiche 49 ) très particulières, où les végétaux, en se décomposant lentement dans l’eau, forment une épaisse couche de tourbe. Ces milieux rares abritent une biodiversité exceptionnelle et stockent d'énormes quantités de carbone, aidant ainsi à limiter le changement climatique.  Pourtant, l'extraction massive de tourbe pour fabriquer des terreaux, entre autres, menace leur survie.  Chaque sac de terreau contenant de la tourbe participe, souvent sans que les jardiniers amateurs ne s’en rende compte, à leur destruction. En choisissant un terreau sans tourbe, on protège la biodiversité, on préserve l’eau et on agit concrètement contre le changement climatique. Des idées pour agir Avant d’acheter un terreau, je vérifie qu’il est bien indiqué "sans tourbe" ou "terreau 0% tourbe". Je privilégie les terreaux à base de compost végétal, de fibre de bois, de coco ou de feuilles compostées. Je préfère des terreaux fabriqués à partir de ressources locales et renouvelables pour réduire mon empreinte carbone. Je recycle mes déchets de cuisine et de jardin pour créer mon propre compost et enrichir naturellement mon sol. Je soutiens ou propose à ma commune d’adopter, comme à Besançon, des pratiques sans tourbe pour les espaces publics. Les (é)co-bénéfices 🦋 Je protège la biodiversité Je fais en sorte que les tourbières continuent à jouer leur rôle de refuges pour les espèces locales. 👶 Je pense aux générations futures Les tourbières sont des écosystèmes non renouvelables. Une fois détruites, elles mettent des millénaires à se former à nouveau. ❤️ Je prends soin de ma santé En choisissant des produits sans tourbe, je contribue à la réduction de la pollution de l'air et de l'eau.  💧 Je préserve la qualité de l’eau En évitant l’exploitation des tourbières, je contribue à la préservation de la capacité naturelle de filtration des eaux, évitant ainsi la pollution de l’eau. 🌡️ Je limite le changement climatique En protégeant les tourbières, je préserve des puits de carbone qui stockent de grandes quantités de CO2, aidant à atténuer les effets du réchauffement climatique.  Pourquoi c’est important ? Les tourbières sont des zones humides très précieuses. Elles se forment quand des plantes comme les mousses (notamment les sphaignes) se décomposent très lentement dans l’eau, créant peu à peu un sol très riche appelé tourbe. Ce processus est extraordinairement lent : il faut entre 100 et 1 000 ans pour que quelques centimètres de tourbe se forment. Ces milieux abritent des plantes rares et des animaux peu communs. Ils jouent aussi un rôle vital pour tout le vivant : Ils stockent d’énormes quantités de carbone, bien plus que les forêts, aidant à limiter le changement climatique. Ils régulent l’eau, en limitant les crues et en relâchant l’eau en période de sécheresse. Ils filtrent et purifient l’eau que nous buvons. Mais aujourd'hui, la tourbe est massivement extraite pour fabriquer du terreau utilisé en jardinage. Lorsque les tourbières sont exploitées ou asséchées, elles libèrent du carbone dans l’atmosphère, accélérant ainsi le changement climatique. De plus, la faune et la flore qui en dépendent disparaissent. Aujourd'hui, des alternatives existent : des terreaux fabriqués à partir de fibres de bois, de coco, d'écorces compostées... Ou même, pour les plus motivés, en fabriquant son propre terreau.  En chiffre Le saviez-vous ? 2x plus de carbone stocké dans les tourbières que dans toutes les forêts réunies. Quebecscience.qc.ca Politique publique Depuis plus de 40 ans, la France protège ses zones humides, dont les tourbières, grâce à la convention de Ramsar et à des plans d'action nationaux, comme celui lancé en 2022 pour mieux connaître, restaurer et préserver ces milieux essentiels. Ils le font déjà Des collectivités, comme la ville de Besançon, s'engagent également dans cette démarche en favorisant l'utilisation de terreaux sans tourbe dans leurs espaces verts. Activé Aller plus loin Changer sa pratique pour du terreau sans tourbe - Pôle-Relais Tourbières  (ouverture dans une nouvelle fenêtre) Visuel de l’action Illustration - Utiliser du terreau sans tourbe Catégories d’actions citoyennes Prendre soin des espèces et des espaces Résumé Les tourbières sont des zones humides ( lien vers la fiche 49 ) très particulières, où les végétaux, en se décomposant lentement dans l’eau, forment une épaisse couche de tourbe. Ces milieux rares abritent une biodiversité exceptionnelle et stockent d'énormes quantités de carbone, aidant ainsi à limiter le changement climatique.  Pourtant, l'extraction massive de tourbe pour fabriquer des terreaux, entre autres, menace leur survie.  Chaque sac de terreau contenant de la tourbe participe, souvent sans que les jardiniers amateurs ne s’en rende compte, à leur destruction. En choisissant un terreau sans tourbe, on protège la biodiversité, on préserve l’eau et on agit concrètement contre le changement climatique. Votes 1 Voters cecile.bouniol@ofb.gouv.fr
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Protéger les zones humides (mer., 05 nov. 2025)
Protéger les zones humides Les zones humides, ce sont ces espaces où l’eau et la terre se rencontrent : marais, tourbières, prairies inondables, lagunes, mangroves… On en trouve un peu partout, et pas seulement dans les grands sites connus. Elles filtrent naturellement l’eau, limitent les inondations, stockent du carbone et nous aident à faire face au changement climatique. Agir pour les protéger, c’est éviter de polluer l’eau, participer à la restauration de certains sites, s’informer sur les projets d’aménagement près de chez soi, et expliquer leur rôle dans nos territoires.  Des idées pour agir Je participe à des chantiers nature : arrachage de plantes invasives, restauration de mares, entretien de zones humides. Je limite l’imperméabilisation chez moi en installant des pavés drainants, de la végétalisation, voire même en créant une petite mare. Je respecte les milieux humides en restant sur les sentiers, en observant sans déranger et en ramassant mes déchets. Je participe aux concertations publiques pour défendre ces milieux dans les projets urbains de mon territoire. Je consomme autrement : alimentation locale, bio pour réduire l’impact de l’agriculture intensive. Chaque 2 février, je participe à la Journée mondiale des zones humides et aux animations organisées partout en France. Les (é)co-bénéfices 🦋 Je protège la biodiversité En préservant les habitats pour une multitude d’espèces végétales et animales, dont certaines rares et menacées. 👶 Je pense aux générations futures Préserver aujourd'hui les zones humides, c'est transmettre des écosystèmes fonctionnels et durables. ❤️ Je prends soin de ma santé Les zones humides filtrent naturellement l’eau, limitant la propagation de polluants et de pathogènes et nous donne donc accès à une eau de meilleure qualité. 💧 Je préserve la qualité de l’eau Les zones humides permettent une recharge des nappes phréatiques et la protection des ressources en eau pour les usages humains. 💲 Je fais des économies On peut réduire les coûts de traitement de l’eau potable, et soutenir les activités agricoles, ostréicoles, piscicoles locales dépendantes de zones humides en bonne santé. 🌡️ Je limite le changement climatique La préservation des zones humides assure le stockage du carbone par les tourbières, marais et autres milieux humides.  Pourquoi c’est important ? Quand il pleut trop, elles absorbent l’eau comme des éponges et limitent les inondations. En été, elles relâchent cette eau petit à petit, ce qui aide à garder les sols humides plus longtemps. Elles filtrent aussi les polluants, nettoient naturellement les eaux usées et permettent de recharger les nappes phréatiques. Certaines stockent même du carbone plus efficacement que les forêts. Mais ce n’est pas tout. Ces milieux abritent une vie incroyable. On estime qu’en France, la moitié des oiseaux et un tiers des espèces végétales menacées dépendent directement des zones humides. Pour autant, ces milieux disparaissent à vue d’œil. En un siècle, la France a perdu deux tiers de ses zones humides. Les pressions sont multiples entre l’urbanisation, la construction de routes, le drainage excessif, les pollutions de l’eau. Quand une zone humide est détruite, les conséquences sont nombreuses. C’est une barrière naturelle contre les inondations qu’on enlève. C’est une source d’eau propre, un refuge pour la vie, un climat plus stable qui s’appauvrit. Et tout cela nous concerne directement : l’eau qu’on boit, les cultures qu’on fait pousser, les territoires qu’on habite deviennent plus vulnérables. En chiffre Le saviez-vous ? 85% des zones humides de la planète qui existaient en 1700 sont déjà détruites. Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) Politique publique Depuis plus de 40 ans, la France protège ses zones humides grâce à la convention de Ramsar et à des plans d'action nationaux, comme celui lancé en 2022 pour mieux connaître, restaurer et préserver ces milieux essentiels. Activé Aller plus loin Centre de ressources des milieux humides  (ouverture dans une nouvelle fenêtre) Milieux humides, entre richesse et fragilité  (ouverture dans une nouvelle fenêtre) Visuel de l’action Illustration - Protéger les zones humides Catégories d’actions citoyennes Prendre soin des espèces et des espaces Résumé Les zones humides, ce sont ces espaces où l’eau et la terre se rencontrent : marais, tourbières, prairies inondables, lagunes, mangroves… On en trouve un peu partout, et pas seulement dans les grands sites connus. Elles filtrent naturellement l’eau, limitent les inondations, stockent du carbone et nous aident à faire face au changement climatique. Agir pour les protéger, c’est éviter de polluer l’eau, participer à la restauration de certains sites, s’informer sur les projets d’aménagement près de chez soi, et expliquer leur rôle dans nos territoires.  Votes 2 Voters cecile.bouniol@ofb.gouv.fr anon voters anon:055866e6df73155d
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